C’est une histoire de viol qui avait fait couler beaucoup d’encre l’année dernière. Le footballeur portugais Cristiano Ronaldo était accusé de viol par une Américaine. Kathryn Mayorga affirmait que la star de la Juventus de Turin l’avait agressée sexuellement en 2009 dans une chambre de l’hôtel Palms Place, à Las Vegas. Mais ces accusations ont été vaines dans le temps puisque le numéro 7 portugais a nié toutes implications.
Aujourd’hui, de nouveaux éléments font surface et mettent à mal Cristiano Ronaldo.
Selon le « Sun », qui a eu accès à des emails entre la police de Las Vegas l’accusation, les rapports ont montré que son ADN était bien présent sur des preuves. De plus, dans les échanges, on lit que les avocats de Cristiano Ronaldo affirment que la victime lui avait dit « stop ».
En 2010, elle avait signé un accord de confidentialité avec Cristiano Ronaldo, et a ensuite confié que les soutiens légaux du sportif avaient profité de sa vulnérabilité mentale pour la faire signer. Plus tôt dans l’année, Kathryn Mayorga a lancé une procédure pour faire annuler ce contrat. Dans les papiers dévoilés par le « Sun », on apprend qu’elle a aussi reçu plus de 330 000 euros. Une somme qui, pour le footballeur, implique son silence autour de l’affaire, « et en aucun cas la reconnaissance de sa culpabilité ». En août, elle a finalement décidé de parler, précisent ses avocats.
Depuis ces accusations, Cristiano Ronaldo a pu compter sur le soutien de sa compagne, Georgina Rodriguez. De son côté, Kathryn Mayorga, qui était mannequin, mène désormais une carrière d’enseignante.
Est-ce encore une fausse alerte ? Ou le Cr7 est vraiment impliqué ? La suite nous le dira.