La CAF, après l’attribution de l’organisation de la CAN 2019 au Caméroun, a constaté le retard dans l’exécution du travail. Conséquence, l’organisation est confiée à l’Egypte. L’organisatiom de l’édition prochaine est confiée au groupe Picccini. Une entreprise à laquelle l’Etat camérounais avait confié la construction du complexe sportif d’Olembé. Un complexe devant abriter la CAN total 2021. Le Mardi 03 décembre dernier le ministre camérounais en charge des sports, Narcisse Mouelle Kombi, a annoncé la rupture du contrat liant l’Etat camérounais à l’entreprise Piccini, qui, selon le ministre, n’avance pas dans les travaux malgré l’ultimatum donné. Après résiliation du contrat entre l’entreprise italienne et l’Etat camérounais le marché est redonné à la firme canadienne, Magil, qui a pour charge l’achèvement des travaux amorcés par Piccini estimé à plus de 163 milliards selon un avocat camérounais, Me. Christian du Dieu Tiomga.
Pour permettre à Magil de travailler dans de bonnes conditions l’Etat camérounais ordonne à Piccini de mettre à disposition tous les matériels déjà acquis.
D’autres pensent aussi que la nouvelle attribution du marché est de grá à gré.
Le feuilleton de la CAN au Cameroun s’avère interminable avec plusieurs nouveaux rebondissements.